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Comment peut-on être aussi négligent ?

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Malgré tout, Yann Barthès n'est pas Jon Stewart, ils ne sont pas comparables. Yann Barthès est un présentateur très sympathique, tandis que Stewart est avant tout un acteur très talentueux. Effectivement, l'interview était ennuyeuse (hormis le coup de la cigarette) et maladroite; c'est là qu'un improvisateur comme Stewart se différencie car si Barthès a su lever quelques lièvres (Deneuve cite "Fringe", qui est diffusé sur TF1), il ne sait pas (encore) les exploiter sur la durée comme l'aurait fait Stewart, et n'a surtout pas sa présence physique (Stewart parvient à faire rire avec une simple expression).


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“ One should never trust a woman who tells her real age. A woman who would tell that would tell anything. ”

— Oscar Wilde

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Comment savoir si la critique de votre hôtel est authentique ou pas ?

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"Ma voisine de vestiaire est recroquevillée sur son portable. De grosses larmes coulent sur le blush de ses joues, elle risque de faire décoller ses faux-cils à pleurer comme ça. Scénario typique. Le petit-ami lui envoie des mots durs… ou plutôt des SMS incendiraires (à savoir que les maris et petits copains ne sont pas autorisés à rentrer dans l’établissement pour éviter les scandales). Pas facile de jouer les femmes fatales quand on a le coeur brisé. Mom est là pour la prendre dans ses bras. Elle la dorlote en lui caressant les cheveux et me regarde avec un sourire mi-ému mi-amusé. « Mon sucre d’orge, aucun homme ne mérite qu’on pleure ainsi pour lui, voyons. Allons, tout va s’arranger… »"

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MOVE from Rick Mereki on Vimeo.

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"Pendant toute une année, ce blogueur aura raconté ses histoires, ses réflexions, ses rencontres, ses angoisses, ses attentes, ses souvenirs, ses questionnements, ses rendez-vous, ses soirées alcoolisées, ses pensées, ses doutes, ses vêtements aussi. Au cours de cette année, il aura rencontré de nouvelles personnes, eu plusieurs rencards, beaucoup pleuré, rit encore plus, eu un nouveau boulot, acheté encore des vêtements, et rencontré celui dont il allait tomber amoureux… Un an. 47 colonnes, des millions de mots et un morceau de vies. La mienne. Et celles de mes initiales."

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"Je n’y vois pas un complot, mais simplement l’illustration de l’incompétence crasse des éditorialistes, qui voient une défaite dès qu’ils n’ont pas une victoire avant le bouclage, et un vieux fond d’antimilitarisme qui a fait des ravages depuis la défaite humiliante de 1940 et les guerres coloniales d’après-guerre."

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"Encore plus mauvais, même si gobé malgré tout, le dernier Candace Bushnell. Ecrit avec les pieds, pas une once de subversion comme c'était le cas dans Sex and the city. On est à peine au niveau d'un mauvais Danielle Steel."

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"Après, on a baisé comme des débiles mentaux pendant plusieurs semaines. Au début, j’adorais J. Le modèle d’exposition dans la vitrine du gendre idéal avec l’option grosse bite qui baise bien, nous avions le même âge, nous étions absolument faits l’un pour l’autre, tout le monde s’accordait à le dire. Sauf Hafid qui regardait J. comme le mouton de l’Aïd, avec un mélange de mépris et de pitié."

Sexy Raoult

Soleil